Le bien-être au travail, nouveau moteur de la performance des entreprises suisses

Le bien-être au travail.

Très longtemps relégué au second plan, souvent même ignoré, le bien-être des employés tend à devenir une des principales préoccupations des entreprises suisses. Nombreuses sont les sociétés qui doivent faire face au désengagement de leurs salariés : une réalité qui impacte lourdement leur développement économique.

Les entreprises suisses face au désengagement de leurs employés

Fût un temps où les salariés étaient considérés comme des ressources humaines. L’employé était alors payé pour réaliser des tâches définies contractuellement, ni plus, ni moins. On ignorait alors la richesse du dépassement de fonction et du potentiel créatif des collaborateurs, tout en négligeant les risques liés au désengagement : du personnel moins motivé, moins productif, moins fidèle à l’entreprise…

Heureusement en 2016, l’état d’esprit et la motivation des employés sont enfin reconnus comme d’indéniables rouages de la bonne santé et de la réussite d’une entreprise.

 

Un salarié heureux est beaucoup plus productif, créatif et loyal

Encore trop peu de salariés suisses engagés

Si l’on constate une prise de conscience de plus en plus importante, les chiffres de la dernière étude Gallup  http://www.gallup.com/services/176735/state-global-workplace.aspx montrent encore clairement que, dans les faits, le désengagement des salariés reste un point faible de l’économie Suisse :

  • Seuls 16 % des salariés se sentent engagés ;
  • 76 % sont considérés comme désengagés ;
  • Et 8 % sont même activement désengagés.

Enormément d’employés se rendent donc dans leur entreprise sans avoir le sourire. Beaucoup vont simplement faire acte de présence quand d’autres franchissent les portes de leur société la boule au ventre…

Il reste du chemin à parcourir, mais Swibeco est là pour ça. L’heure de la transition vers une plus grande implication est venue.

Des employés épanouis pour des entreprises plus performantes

L’engagement d’un salarié  ne se résume pas à la motivation qu’il peut avoir à effectuer les tâches pour lesquelles il est payé. Il relève aussi de son implication émotionnelle, de son attachement affectif à la marque et à l’identité de l’entreprise. Pour l’employé engagé, l’entreprise fait partie de lui. Elle représente une part importante de son projet de vie.

Ainsi, les critères d’engagement peuvent être différents pour chaque employé. Ils peuvent dépendre :

  • de la reconnaissance de son travail ;
  • des perspectives d’évolution qui lui sont proposées ;
  • de l’esprit d’équipe au sein de la société ou du service dans lequel il travaille ;
  • du sentiment de responsabilité qui lui est accordée ;
  • ou des moyens mis à sa disposition.

S’il est essentiel d’écouter et de prendre en compte les aspirations personnelles pour entretenir l’engagement individuel et collectif, essayer de répondre aux 12 critères définis par Gallup favorisera l’implication des employés.

 

Il apparaît donc que la motivation des salariés dépend non seulement de la reconnaissance en salaire et en avantages, mais aussi de la responsabilisation de l’employé et de l’implication qu’on lui propose dans le projet d’entreprise.